LES UNIFORMES

Les Grenadiers

Le 1er régiment de grenadiers à pied de la Garde impériale est un régiment d’élite de la Grande Armée . Il fait partie de la Garde impériale et il est l’une des quatre seules véritables unités de la Vieille Garde (avec le 1er chasseurs à pied, les chasseurs à cheval et les grenadiers à cheval). Il s’agit du plus ancien régiment d’infanterie de la Grande Armée.

Une figurine

Figurine réalisée par Maurice FRIESS

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Les Sapeurs de la garde impériale

Lors de la campagne de Russie, la compagnie du génie de la garde est attachée à la division d’infanterie de la Vieille Garde et fait campagne à sa suite. En 1813 lui est adjoint la compagnie des sapeurs de la Jeune Garde nouvellement créée, portant l’effectif à 376 officiers, sous-officiers et sapeurs. En 1814, la compagnie des sapeurs de la garde devient un bataillon à quatre compagnies, dont la 1re seule est de Vieille Garde, pour un effectif total de 615 hommes. Dissous par la Première Restauration, le corps des sapeurs de la garde est réorganisé par Napoléon en 1815 en une compagnie d’environ 200 hommes qui participe à la campagne de Belgique.

Une figurine

Figurine réalisée par Didier BONHOMME

Pour en savoir plus

 

Les Cuirassiers

L’uniforme des cuirassiers de l’armée napoléonienne est le costume militaire et réglementaire, porté par les 14 régiments de cuirassiers de la cavalerie lourde sous le Consulat et le Premier Empire. Il se caractérise par le port d’une cuirasse, et d’un casque à cimier. Chaque régiment était identifié par une couleur distinctive présente sur différents éléments de l’uniforme, comme le collet ou les basques.

Une figurine

Cuirassier du 12ème régiment en 1806

Figurine réalisée par Didier BONHOMME

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Les Dragons 

Le régiment de dragons de la Garde impériale est une unité de cavalerie lourde française créée le  par Napoléon Ier. En service dans la cavalerie de la Garde impériale jusqu’à sa dissolution en 1815, ce régiment porte aussi le nom de « dragons de l’Impératrice » en hommage à sa marraine, Joséphine de Beauharnais. Sous l’Empire, les dragons forment, avec les grenadiers à cheval, la brigade de cavalerie lourde de la Garde impériale.

Des figurines

Lieutenant du 18e régiment de dragon en 1798

Figurine réalisée par Maurice FRIESS

 

Dragons du 3ème régiment

Figurine réalisée par Didier BONHOMME et Cyril PERZ

 

Officier des dragons de l’impératrice

Figurine réalisée par Didier BONHOMME

 

Dragon à pied du 20ème régiment

Figurine réalisée par Didier BONHOMME

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Les Hussards 

Ce sont des régiments de cavalerie légère française regroupant les hussards. Dans l’armée française, les hussards apparaissent en 1637 lors de la guerre de Trente Ans, mais ils ne forment une arme distincte dans la cavalerie qu’en 1776. Servant d’éclaireurs, chargés de harceler l’adversaire, les hussards s’illustrent dans des batailles majeures, capturant notamment en 1795 la flotte hollandaise prise dans les glaces, faisant capituler la forteresse de Stettin.

Une figurine

Hussard du 6ème régiment en 1806

Figurine réalisée par Didier BONHOMME

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Les Chevau-légers (lanciers)

En 1807, lors de l’entrée de Napoléon en Pologne, celui-ci décide la formation du régiment des chevau-légers polonais recruté parmi la noblesse. Ils ne reçoivent la lance qu’en 1809, après Wagram. Fin 1808, le régiment de chevau-légers de Berg est rattaché à la Garde impériale. En 1809, les chevau-légers sont dissous et incorporés aux chasseurs à cheval de la Garde.

Une figurine

Lanciers rouges du 2ème régiment en 1810

Figurine réalisée par Didier BONHOMME et Cyril PERZ

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Les éclaireurs de la garde

Reconnaissance d’un gué en 1814 avec le 2ème régiment d’éclaireurs de la garde

La connaissance,  le contrôle des ponts et des gués étaient et sont toujours des objectifs stratégiques essentiels qui peuvent décider  du sort d’une bataille, soit en permettant la retraite d’une armée acculée  comme au gué de Studienka sur la Bérézina le 26 novembre 1812, soit en débouchant par surprise sur les arrières de l’ennemi comme  à Valvasone le 16 mars 1797, à Lodi le 10 mai 1796 (mais ce jour- là, le gué fur découvert trop tard pour que les troupes du général Beaumont qui y passèrent puissent intervenir efficacement dans la bataille) ou  à Lovadina et San Michele lors de la bataille sur le Piave le 08 mai 1809.

Diorama réalisée par Marc GERSON

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LES HOMMES CÉLÈBRES

 

BONAPARTE et JOSEPHINE

Une figurine

Figurine réalisée par Jean-Pascal SOTGIU

 

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 GENERAL SOULT

Une figurine

Figurine réalisée par Alain BARNIAUD (www.leschevaliersdelabaiedesanges.fr)

 

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GENERAL AUGEREAU

Une figurine

Buste réalisé par Yvan GOURDIN 

 

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MARECHAL LANNES

Au cours de sa carrière, Lannes a démontré des qualités d’attaquant (Saragosse, Montebello), de chef d’avant-garde (Friedland, Aspern-Essling) ou de manœuvrier (Ulm, Iéna) qui en font, avec Davout, l’un des meilleurs commandants dont ait disposé Napoléon. Celui-ci dira de lui à Sainte-Hélène : « Lannes, le plus brave de tous les hommes […] était assurément un des hommes au monde sur lesquels je pouvais le plus compter […] L’esprit de Lannes avait grandi au niveau de son courage, il était devenu un géant […] ».

Une figurine

Buste réalisé par Jérôme BONAVITA 

 

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LA MODE

Des figurines

Un couple de bougeois

 

Une fleuriste

 

Un vagabond

Figurines réalisées par Alain BARNIAUD (www.leschevaliersdelabaiedesanges.fr)

 

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